Et je sors Et je drague comme on crève Avec tellement de choses à regretter Comme ta langue sur mes lèvres Et mes mains sur tes poignets Dis-moi que puis-je y faire Si je ne sais faire que traîner Car tu es loin et moi je crève De ne pouvoir te toucher
Et je sors Et je drague comme on crève Avec tellement d'envie à ravaler Mais si ma bite et mon cœur font grève Je peux très bien me toucher Et si ma langue traîne par terre Je peux très bien l'avaler Car tu es loin et moi je crève De ne pouvoir te baiser
Oh mon amour {3x} Je crève de ne pouvoir t'enlacer Oh mon amour {3x} Je crève de ne pouvoir te baiser
Mais si un beau jour je cède Pourras-tu me pardonner Mais si un beau jour je m'achève Dans l'infidélité Penses-tu que l'on se relève De tous ces corps si étrangers Ou que l'on en crève Ça me ferait tellement marrer
Et si l'envie m'envahit les lèvres Je peux très bien me lècher Et si ma langue traîne par terre Je peux très bien l'avaler
Oh mon amour {3x} Je crève de ne pouvoir te toucher Oh mon amour {3x} Je crève de ne pouvoir te baiser Miossec la fidélité� Uploaded by mocky214 Miossec - La Fidélité
Cet été, j'ai entendu dire que The Limes étaient partis en vacances ensemble... Ils ont pris leur van fleuri, avec pour tout bagage guitares, tambourin, leurs voix, leurs belles mélodies... et un piano (oui ça fait lourd, mais le van était grand, sûrement). Et les voilà partis sur les routes des Etats-Unis, roulant sans escale jusqu'à la cote pacifique.
Le bonheur d'être ensemble (enfin), l'euphorie insouciante des vacances, le soleil qui tape, il en résulte une perle de chanson pop : Beyond Blue.
Et bien ce soir, à peine de temps de dire ouf que vous avez tout trouvé. L'école ça vous réussit apparemment !
C'est Coolbeans, au taquet, qui ouvre le bal on découvrant Alice Cooper, suivi dans la seconde par Bopper en Larmes qui lui, se jette sur Air. Puis, sans trop y croire, Coolbeans ose proposer Sheila... Forcément ici ça faisait un peu tâche... mais non, contre toute attente elle est bien dans la liste, avec un titre comme L'Ecole est finie, je ne pouvais qu'être tentée !
Et là... six longues minutes s'écoulent, avec leur lot de questionnements existentiels : aurais-je pris des extraits trop peu significatifs, ou bien ces morceaux seraient-ils inconnus des joueurs ?... Un vent de panique soufflait sous mon crâne. Quel stress ! J'en ai attaqué l'ongle de mon petit doigt...
Heureusement, Bopper en Larmes arrive à retrouver le Leonard Cohen, et met ainsi fin à toutes les angoisses, sauvant, par la même occasion ce qui me restait d'ongles. Jladisco, pointe le bout de son nez pour mettre fin au suspense qui régnait sur le morceau n°2, se rappelant d'un Supertramp qu'il n'avait pas écouté depuis vingt ans !
Il faut donc que je vous remercie tous, d'avoir sauvé ma manucure, et mon rythme de sommeil. je vais ainsi pouvoir me coucher à 21h30 (ou presque) comme à mon habitude !
Les scores de ce soir : Coolbeans : 2 Bopper en Larmes : 2 Jladisco : 1
Septembre est bel et bien là et j'ai un mal fou à m'y faire... Alors pour me l'imprimer une bonne fois pour toutes dans le crâne, voici un Paul Is Dead, spécial rentrée des classes. Cinq artistes, cinq titres à retrouver d'après ces extraits passés à l'envers...
Il y a quelques mois, je vous avais fait part de mon scepticisme à l'égard de Duke Special, que j'avais vu en concert en première partie de ce grand concert des nom moins grands Divine Comedy.
Je suis passée par hasard sur la page myspace de ces derniers, et j'ai pu voir que, depuis, ils ont fait des petits.
Ils ont collaboré tout récemment pour nous proposer Our Love Goes Deeper Than This, un morceau avec l'emphase et les flonflons de Duke Special et avec l'humour et la grâce de Neil Hannon... ou l'inverse.
Somme toute, une jolie réussite.
Duke Special - Our Love Goes Deeper Than This
Et un petit rappel pour les étourdis : demain rendez-vous à 21h pour un nouvel épisode de Paul Is Dead.
I let the beast in too soon, I don't know how to live Without my hand on his throat; I fight him always and still Oh darling, it's so sweet, you think you know how crazy How crazy I am You say you don't spook easy, you won't go, but I know And I pray that you will Fast as you can, baby runfree yourself of me Fast as you can I may be soft in your palm but I'll soon grow Hungry for a fight, and I will not let you win My pretty mouth will frame the phrases that will Disprove your faith in man So if you catch me trying to find my way into your Heart from under your skin
Fast as you can, baby scratch me out, free yourself Fast as you can Fast as you can, baby scratch me out, free yourself Fast as you can
Sometimes my mind don't shake and shift But most of the time, it does And I get to the place where I'm begging for a lift Or I'll drown in the wonders and the was And I'll be your girl, if you say it's a gift And you give me some more of your drugs Yeah, I'll be your pet, if you just tell me it's a gift 'Cause I'm tired of whys, choking on whys, Just need a little because, because
I let the beast in and then; I even tried forgiving him, but it's too soon So I'll fight again, again, again, again, again. And for a little while more, I'll soar the Uneven wind, complain and blame The sterile land But if you're getting any bright ideas, quiet dear I'm blooming within
Fast as you can, baby wait watch me, I'll be out Fast as I can, maybe late but at least about Fast as you can leave me, let this thing Run its route Fast as you can [x4]
Hier, comme souvent à cette période de l'année dans mon quartier, il y avait un vide grenier. Le temps était plutôt clément, alors j'ai décidé de m'aérer. De vieilles casseroles, quelques bijoux en toc, des chapeaux un peu mités, la collection complète du magazine "Je Bouquine", des cendriers en porcelaine, un minitel en état de marche (assurait-on), un briquet en forme de berger allemand, des cartes postales classées par département, une vieille table d'école, des poupées aux cheveux coupés par leur précédente propriétaire (ou son petit frère un jour de colère), des étuits de portables, des cassettes vidéos enregistrées à la maison, et quelques disques...
Parmi Sheila, Hugues Aufray, Jeanne Mas, Alain Barrière ou Johnny Hallyday il y avait quand-même quelques trouvailles. Et dans un petit stand, je suis tombée sur une mine. Des tonnes de vinyls. Instinctivement je me suis dirigée vers le cageot nommé "pop rock". Tous les 33 tours des Beatles et de Pink Floyd défilaient sous mes doigts. Il y en a qui ont les yeux qui brillent en regardant la vitrine du patissier, moi je m'extasiais devant ces grand carrés de carton, qui sentaient le vieux papier. Qu'ils étaient beaux ces diques !
Je n'ai pas réflechi. Après une rapide vérification dans mon porte-monnaie, j'ai décidé de n'en prendre que deux, je ne pouvais pas tous les prendre... suplice de Tantale ! Finalement j'ai -non sans mal- arrêté mon choix : un de chaque. Je suis donc rentrée chez moi, un sourire jusque aux oreilles, avec sous le bras Sgt Pepper Lonely Hearts Club Band (des Beatles) et A Saucerful Of Secrets (de Pink Floyd).
Bon, la rentrée est passée, il serait grandement temps de se remettre au boulot. Et vous l'aurez peut-être remarqué, les "vrais" posts se font rares ici en ce moment...
Pourtant, il y a un groupe dont je veux absolument vous parler, parce que, simplement, il gagne à être connu !
Je vous présente donc I Told You Margaret, un jeune trio parisien, comme son nom ne l'indique pas. Leur pop folk d'apparence légère, au premier abord, a tout pour me plaire : de jolies mélodies qui donnent envie de chanter, une voix éraillée et sensible, et des arrangements subtils qui me rappellent parfois les Beatles (alors forcément...) I Told You Margaret a aussi des choses à raconter. Ces trois là rêvent. Ils rêvent d'Amérique. Pas celle que l'on voit à la télévision (excessive, violente, puritaine et crue), ni celle du cinéma (enjolivée, sucrée, trop lisse). Ce serat plutôt l'Amérique que l'on fantasme quand on écoute Dylan, Neil Young, Elliott Smith ou Chris And Thomas. Une image nébuleuse, que l'on ne veut pas confronter à la réalité...
Alors on se surprend à rêver aussi, de ce que pourrait être ce grand pays lointain, émouvant, drôle parfois, mystérieux, imparfait, finalement humain.
I never said that I had any anwsers I never claimed to be the better man. I’ve got no integrity to cling to I don’t have myself a backup plan
For twenty some odd years I’ve made a mess of things I’ve lost most of the friendships that I’ve made and I’ve burned a lot of bridges and it hurts me still to say but I never intended it that way
Yeah, I never meant to make you want to punch me out That night in Deliwear outside the club cause I know you had it shitty growing up and I did too but if you forgive me- I will forgive you
You make me want to stand in my fertility a sellout doesn’t value his own song and I know I messed around a lot before a fell for you but no one’s ever loved you like I do
Take a Walk on the Wild Side *
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J'ai découvert Iwan Rheon en regardant une série télé.Sa musique
n'illustrait pas la série, il y était acteur. La (géniale) série s'appelle
Misfits, et il ...