Ce matin, comme tous les matins, j'ai consulté les statistiques de mon blog. Le nombre de visiteurs : 158 hier, ooh, ça faisiat longtemps que je n'en avais pas eu autant en une seule journée ! On sent que les affaires reprennent... Et puis, en consultant l'onglet "mots clés" (les mots que les gens tapent dans gougle et qui ont mené jusqu'à mon blog) je découvre "Rodrigo y Gabriela, Trabendo, critique". Je comptais bien faire un compte rendu du concert d'hier soir, mais là, autant d'impatience flatte mon ego de geek...
Bref, venons-en au vif du sujet : Rodrigo Y Gabriela étaient, vous l'avez compris au Trabendo hier.
Pour ceux qui ne seraient pas encore au courant de l'amour immodéré que je porte à ces deux musiciens, dont je vous ai déjà parlé ici (oui, d'accord, ça commence à faire un bail), il s'agit de deux mexicains issus d'un groupe de trash metal qui ont décidé de débrancher leurs guitares, de jeter leur batteur par dessus une falaise (m'a-t-on expliqué hier soir) pour composer des morceaux flamenco (même s'ils s'en défendent, il est difficile d'utiliser un autre terme), sans perdre de vue leurs influences initiales.
Hier soir, ils ont décoiffé le Trabendo. Ils étaient déchaînés, et nous avec. Des rythmiques folles, des mélodies inchantables mais prégnantes, voilà ce qui pourrait définir leur concert. Mais ce serait loin d'être suffisant pour exprimer ce qu'il s'est passé hier. La complicité entre Rodrigo et Gabriela est indéniable, la joie qu'ils ont d'être là aussi. Il nous transmettent ce bonheur là, le public danse, les têtes se secouent et après chaque morceau on applaudit à tout rompre.
Quand Rodrigo et Gabriela jouent les morceaux de leur album, il les arrangent d'une manière totalement nouvelle, semblent même improviser, cherchant à se surprendre ou se défier l'un l'autre. Ils reprennent quelques riffs de Metallica, ou font chanter le public sur Wish You Were Here des Pink Floyd.
Alors que Rodrigo enchaîne les solos d'une précision époustouflante, Gabriela, elle semble totalement habitée lorqu'elle joue et frappe sa guitare pour marquer le rythme.
L'ambiance rock est bien là dans la salle. Mais par moments il a aussi soufflé des airs de jazz manouche ou de bossa nova sur scène.
Rodrigo et Gabriela nous parlent en anglais et en espagnol : ils nous promettent qu'ils reviendront, avec un nouvel album l'année prochaine. Bien évidemment je suis déjà impatiente !
Finalement, ce n'était pas un concert de flamenco, de jazz ou de bossa auquel j'ai assisté hier, mais bien un concert de rock. Yeah !
Diablo Rojo
Tamacun
Des videos lives à voir ici.
Plein de morceaux à écouter sur leur myspace.
Bref, venons-en au vif du sujet : Rodrigo Y Gabriela étaient, vous l'avez compris au Trabendo hier.
Pour ceux qui ne seraient pas encore au courant de l'amour immodéré que je porte à ces deux musiciens, dont je vous ai déjà parlé ici (oui, d'accord, ça commence à faire un bail), il s'agit de deux mexicains issus d'un groupe de trash metal qui ont décidé de débrancher leurs guitares, de jeter leur batteur par dessus une falaise (m'a-t-on expliqué hier soir) pour composer des morceaux flamenco (même s'ils s'en défendent, il est difficile d'utiliser un autre terme), sans perdre de vue leurs influences initiales.
Hier soir, ils ont décoiffé le Trabendo. Ils étaient déchaînés, et nous avec. Des rythmiques folles, des mélodies inchantables mais prégnantes, voilà ce qui pourrait définir leur concert. Mais ce serait loin d'être suffisant pour exprimer ce qu'il s'est passé hier. La complicité entre Rodrigo et Gabriela est indéniable, la joie qu'ils ont d'être là aussi. Il nous transmettent ce bonheur là, le public danse, les têtes se secouent et après chaque morceau on applaudit à tout rompre.
Quand Rodrigo et Gabriela jouent les morceaux de leur album, il les arrangent d'une manière totalement nouvelle, semblent même improviser, cherchant à se surprendre ou se défier l'un l'autre. Ils reprennent quelques riffs de Metallica, ou font chanter le public sur Wish You Were Here des Pink Floyd.
Alors que Rodrigo enchaîne les solos d'une précision époustouflante, Gabriela, elle semble totalement habitée lorqu'elle joue et frappe sa guitare pour marquer le rythme.
L'ambiance rock est bien là dans la salle. Mais par moments il a aussi soufflé des airs de jazz manouche ou de bossa nova sur scène.
Rodrigo et Gabriela nous parlent en anglais et en espagnol : ils nous promettent qu'ils reviendront, avec un nouvel album l'année prochaine. Bien évidemment je suis déjà impatiente !
Finalement, ce n'était pas un concert de flamenco, de jazz ou de bossa auquel j'ai assisté hier, mais bien un concert de rock. Yeah !
Diablo Rojo
Tamacun
Des videos lives à voir ici.
Plein de morceaux à écouter sur leur myspace.
9 commentaires:
Ah ouais ?
Bah ouais !
Eh beh !
Oui, je sais...!
Vu hier aux Trans: ENORME! Le meilleur concert du week-end et de loin. C'est dingue ce qu'on peut faire avec juste deux guitares!
Tu nous feras ton compte rendu Erwan ?
Vus hier sur France 4 aux Trans : ENORME! :-)
Depuis le temps que je vous le dis... ;)
Bien sûr Jen :)
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