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dimanche 30 septembre 2007

Petit Bonheur du jour #22


Et je sors
Et je drague comme on crève
Avec tellement de choses à regretter
Comme ta langue sur mes lèvres
Et mes mains sur tes poignets
Dis-moi que puis-je y faire
Si je ne sais faire que traîner
Car tu es loin et moi je crève
De ne pouvoir te toucher

Et je sors
Et je drague comme on crève
Avec tellement d'envie à ravaler
Mais si ma bite et mon cœur font grève
Je peux très bien me toucher
Et si ma langue traîne par terre
Je peux très bien l'avaler
Car tu es loin et moi je crève
De ne pouvoir te baiser

Oh mon amour {3x}
Je crève de ne pouvoir t'enlacer
Oh mon amour {3x}
Je crève de ne pouvoir te baiser

Mais si un beau jour je cède
Pourras-tu me pardonner
Mais si un beau jour je m'achève
Dans l'infidélité
Penses-tu que l'on se relève
De tous ces corps si étrangers
Ou que l'on en crève
Ça me ferait tellement marrer

Et si l'envie m'envahit les lèvres
Je peux très bien me lècher
Et si ma langue traîne par terre
Je peux très bien l'avaler

Oh mon amour {3x}
Je crève de ne pouvoir te toucher
Oh mon amour {3x}
Je crève de ne pouvoir te baiser

Miossec la fidélité�
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Miossec - La Fidélité

dimanche 23 septembre 2007

Le jour où l'on réunit les amis


Cet été, j'ai entendu dire que The Limes étaient partis en vacances ensemble...
Ils ont pris leur van fleuri, avec pour tout bagage guitares, tambourin, leurs voix, leurs belles mélodies... et un piano (oui ça fait lourd, mais le van était grand, sûrement).
Et les voilà partis sur les routes des Etats-Unis, roulant sans escale jusqu'à la cote pacifique.

Le bonheur d'être ensemble (enfin), l'euphorie insouciante des vacances, le soleil qui tape, il en résulte une perle de chanson pop : Beyond Blue.

Vite vite, la suite !


The Limes - Beyond Blue

lundi 17 septembre 2007

Le jour de la rentrée


Et bien ce soir, à peine de temps de dire ouf que vous avez tout trouvé.
L'école ça vous réussit apparemment !

C'est Coolbeans, au taquet, qui ouvre le bal on découvrant Alice Cooper, suivi dans la seconde par Bopper en Larmes qui lui, se jette sur Air.
Puis, sans trop y croire, Coolbeans ose proposer Sheila... Forcément ici ça faisait un peu tâche... mais non, contre toute attente elle est bien dans la liste, avec un titre comme L'Ecole est finie, je ne pouvais qu'être tentée !

Et là... six longues minutes s'écoulent, avec leur lot de questionnements existentiels : aurais-je pris des extraits trop peu significatifs, ou bien ces morceaux seraient-ils inconnus des joueurs ?... Un vent de panique soufflait sous mon crâne.
Quel stress ! J'en ai attaqué l'ongle de mon petit doigt...

Heureusement, Bopper en Larmes arrive à retrouver le Leonard Cohen, et met ainsi fin à toutes les angoisses, sauvant, par la même occasion ce qui me restait d'ongles.
Jladisco, pointe le bout de son nez pour mettre fin au suspense qui régnait sur le morceau n°2, se rappelant d'un Supertramp qu'il n'avait pas écouté depuis vingt ans !

Il faut donc que je vous remercie tous, d'avoir sauvé ma manucure, et mon rythme de sommeil. je vais ainsi pouvoir me coucher à 21h30 (ou presque) comme à mon habitude !

Les scores de ce soir :
Coolbeans : 2
Bopper en Larmes : 2
Jladisco : 1


1 - Alice Cooper - School's Out


2 - Supertramp - School


3 - Air - Playground Love


4 - Leonard Cohen - Teachers


5 - Sheila - L'Ecole Est Finie

Paul Is Dead #7


Septembre est bel et bien là et j'ai un mal fou à m'y faire...
Alors pour me l'imprimer une bonne fois pour toutes dans le crâne, voici un Paul Is Dead, spécial rentrée des classes.
Cinq artistes, cinq titres à retrouver d'après ces extraits passés à l'envers...

Bonne chance !

1


2


3


4


5

dimanche 16 septembre 2007

Le jour d'un heureux hasard


Il y a quelques mois, je vous avais fait part de mon scepticisme à l'égard de Duke Special, que j'avais vu en concert en première partie de ce grand concert des nom moins grands Divine Comedy.

Je suis passée par hasard sur la page myspace de ces derniers, et j'ai pu voir que, depuis, ils ont fait des petits.

Ils ont collaboré tout récemment pour nous proposer Our Love Goes Deeper Than This, un morceau avec l'emphase et les flonflons de Duke Special et avec l'humour et la grâce de Neil Hannon... ou l'inverse.

Somme toute, une jolie réussite.

Duke Special - Our Love Goes Deeper Than This


Et un petit rappel pour les étourdis : demain rendez-vous à 21h pour un nouvel épisode de Paul Is Dead.

jeudi 13 septembre 2007

Petit Bonheur du jour #21


I let the beast in too soon, I don't know how to live
Without my hand on his throat; I fight him always and still
Oh darling, it's so sweet, you think you know how crazy
How crazy I am
You say you don't spook easy, you won't go, but I know
And I pray that you will
Fast as you can, baby runfree yourself of me
Fast as you can
I may be soft in your palm but I'll soon grow
Hungry for a fight, and I will not let you win
My pretty mouth will frame the phrases that will
Disprove your faith in man
So if you catch me trying to find my way into your
Heart from under your skin

Fast as you can, baby scratch me out, free yourself
Fast as you can
Fast as you can, baby scratch me out, free yourself
Fast as you can

Sometimes my mind don't shake and shift
But most of the time, it does
And I get to the place where I'm begging for a lift
Or I'll drown in the wonders and the was
And I'll be your girl, if you say it's a gift
And you give me some more of your drugs
Yeah, I'll be your pet, if you just tell me it's a gift
'Cause I'm tired of whys, choking on whys,
Just need a little because, because

I let the beast in and then;
I even tried forgiving him, but it's too soon
So I'll fight again, again, again, again, again.
And for a little while more, I'll soar the
Uneven wind, complain and blame
The sterile land
But if you're getting any bright ideas, quiet dear
I'm blooming within

Fast as you can, baby wait watch me, I'll be out
Fast as I can, maybe late but at least about
Fast as you can leave me, let this thing
Run its route
Fast as you can [x4]


Fiona Apple - Fast As You Can



Après avoir reçu moult réclamations, sachez que Paul Is Dead revient.
Rendez-vous lundi 17 septembre à 21h.

lundi 10 septembre 2007

Le jour des achats compulsifs


Hier, comme souvent à cette période de l'année dans mon quartier, il y avait un vide grenier.
Le temps était plutôt clément, alors j'ai décidé de m'aérer.
De vieilles casseroles, quelques bijoux en toc, des chapeaux un peu mités, la collection complète du magazine "Je Bouquine", des cendriers en porcelaine, un minitel en état de marche (assurait-on), un briquet en forme de berger allemand, des cartes postales classées par département, une vieille table d'école, des poupées aux cheveux coupés par leur précédente propriétaire (ou son petit frère un jour de colère), des étuits de portables, des cassettes vidéos enregistrées à la maison, et quelques disques...

Parmi Sheila, Hugues Aufray, Jeanne Mas, Alain Barrière ou Johnny Hallyday il y avait quand-même quelques trouvailles. Et dans un petit stand, je suis tombée sur une mine. Des tonnes de vinyls.
Instinctivement je me suis dirigée vers le cageot nommé "pop rock". Tous les 33 tours des Beatles et de Pink Floyd défilaient sous mes doigts. Il y en a qui ont les yeux qui brillent en regardant la vitrine du patissier, moi je m'extasiais devant ces grand carrés de carton, qui sentaient le vieux papier.
Qu'ils étaient beaux ces diques !

Je n'ai pas réflechi. Après une rapide vérification dans mon porte-monnaie, j'ai décidé de n'en prendre que deux, je ne pouvais pas tous les prendre... suplice de Tantale !
Finalement j'ai -non sans mal- arrêté mon choix : un de chaque.
Je suis donc rentrée chez moi, un sourire jusque aux oreilles, avec sous le bras Sgt Pepper Lonely Hearts Club Band (des Beatles) et A Saucerful Of Secrets (de Pink Floyd).

Je n'ai pas de platine vinyl... et alors ?


Pink Floyd - Let There Be More Light


The Beatles - She's Leaving Home

Photo : Totoblog

vendredi 7 septembre 2007

ailleurs


Le jour où l'on rêve d'ailleurs


Bon, la rentrée est passée, il serait grandement temps de se remettre au boulot. Et vous l'aurez peut-être remarqué, les "vrais" posts se font rares ici en ce moment...

Pourtant, il y a un groupe dont je veux absolument vous parler, parce que, simplement, il gagne à être connu !

Je vous présente donc I Told You Margaret, un jeune trio parisien, comme son nom ne l'indique pas.
Leur pop folk d'apparence légère, au premier abord, a tout pour me plaire : de jolies mélodies qui donnent envie de chanter, une voix éraillée et sensible, et des arrangements subtils qui me rappellent parfois les Beatles (alors forcément...)
I Told You Margaret a aussi des choses à raconter. Ces trois là rêvent. Ils rêvent d'Amérique. Pas celle que l'on voit à la télévision (excessive, violente, puritaine et crue), ni celle du cinéma (enjolivée, sucrée, trop lisse). Ce serat plutôt l'Amérique que l'on fantasme quand on écoute Dylan, Neil Young, Elliott Smith ou Chris And Thomas. Une image nébuleuse, que l'on ne veut pas confronter à la réalité...

Alors on se surprend à rêver aussi, de ce que pourrait être ce grand pays lointain, émouvant, drôle parfois, mystérieux, imparfait, finalement humain.


I Told You Margaret - The Sun Touch The Earth


I Told You Margaret - Western

D'autres titres en écoute sur leur Myspace

jeudi 6 septembre 2007

Petit Bonheur du jour #20


I never said that I had any anwsers
I never claimed to be the better man.
I’ve got no integrity to cling to
I don’t have myself a backup plan

For twenty some odd years I’ve made
a mess of things
I’ve lost most of the friendships that I’ve made
and I’ve burned a lot of bridges
and it hurts me still to say
but I never intended it that way

Yeah, I never meant to make you want to punch
me out
That night in Deliwear outside the club
cause I know you had it shitty growing up
and I did too
but if you forgive me-
I will forgive you

You make me want to stand in my fertility
a sellout doesn’t value his own song
and I know I messed around a lot
before a fell for you
but no one’s ever loved you like I do

No ones ever loved you like I do




Jacob Golden - Zero Integrity